PJC – Alliance écologique et sociale est née en janvier 2020 de la volonté de syndicats et d’associations environnementales de changer les termes du débat et de défendre une vision profondément sociale et environnementale de notre société. Ce collectif était initialement baptisé Plus jamais ça (PJC).
Convaincu·e·s de la fausse opposition entre la préservation de la planète et la création d’emplois, entre la fin du mois et la fin du monde, nous avons décidé de porter ensemble des propositions fortes de rupture avec le système capitaliste défaillant.
Nos combats sont basés sur des actions concrètes, collectives et ancrées dans la réalité des luttes. Ils apportent une réponse aux crises que notre société traverse, qu’elles soient sociétales, environnementales, économiques ou sanitaires.
Nos membres fondateurs
... collectif initié par 8 organisations syndicales et associatives : les Amis de la Terre, Attac, la CGT, la Confédération paysanne, FSU, Greenpeace France, Oxfam France et Solidaires.
De nombreuses organisations ont rejoint depuis cette alliance : Action Aid, Aequitaz, Alternatiba, CCFD-Terres Solidaires, Convergences des services publics, Droit au logement, Emmaüs France, Fidl Le Syndicat lycéen, Fondation Copernic, France Nature Environnement, Mouvement National Lycéen, Notre Affaire à Tous, Partager C’est Sympa, Reclaim Finance, Réseau Action Climat, Syndicat de la magistrature, UNEF, Youth for Climate France, 350.org
"Nous en appelons à toutes les forces progressistes et humanistes, et plus largement à toute la société, pour reconstruire ensemble un futur, écologique, féministe et social, en rupture avec les politiques menées jusque-là et le désordre néolibéral."
Appel fondateur de Plus jamais ça 27/03/2020
Contact 06.29.94.90.44
Propriété et responsabilité
Plus jamais ça est porté collectivement par les organisations d’intérêt général Amis de la Terre France, Attac France, la CGT, la Confédération Paysanne, la FSU, Greenpeace France, Oxfam France et Solidaires, qui sont responsables de son contenu.
Hébergement / Société 02switch 63000 Clermont-Ferrand
Dans cette tribune l'Union Syndicale Solidaires 21 invite toutes les personnes et collectifs en lien avec les Lentillères et les Tanneries à dénoncer la surveillance dont ils ont été la cible:
Nous, artistes, penseurs et penseuses, associations, collectifs, organisations syndicales, sommes scandalisé.e.s de découvrir par le communiqué en date du 26 janvier 2023 que l’Espace Autogéré des Tanneries et le Quartier Libre des Lentillères ont été, pendant plusieurs mois, surveillés par des caméras dissimulées dans des faux boitiers électriques. Ces lieux nous les aimons, nous les fréquentons, nous les animons et nous nous y organisons. Au travers de ces dispositifs, ce sont donc nous et nos collectifs qui avons directement été soumis à une surveillance policière particulièrement intrusive.
Cette surveillance politique s’inscrit dans un contexte de criminalisation et de repression des luttes, en particulier des luttes écologistes. Du fiasco de l’affaire Tarnac, à la récente victoire juridique des opposant·es au projet de site d’enfouissement nucléaire de Bure, les procédés d’espionnage des groupes militants ont montré à plusieurs reprises ces dernières années leur voyeurisme autant que leur inutilité. Plus récemment, ce sont les militant·es opposé·es à la construction de méga-bassines qui en ont fait les frais : un militant du collectif « Bassines non merci » a ainsi découvert une caméra dissimulée devant son domicile, puis une balise GPS sur son véhicule. Les manifestant·es anti-bassines ont quant-à-elle·eux été désigné·es sous le terme d’« éco-terroriste ».
Loin des clichés et des figures repoussoir, l’Espace Autogéré des Tanneries et le Quartier Libre des Lentillères sont des espaces insérés dans le tissu associatif et politique de la ville. Nous sommes nombreux·euses, de tous horizons, à nous y impliquer de diverses manières. Ils sont des lieux d’éducation populaire, d’organisation de distribution alimentaire, de cultures libres, d’accueil, et de maraîchage. Ils sont aussi des lieux d’organisation politique pour de nombreux collectifs féministes, écologistes, anticapitalistes, syndicaux ou encore antifascistes.
Cette surveillance dissimulée des faits, des gestes, du quotidien et de l’intimité des dizaines de personnes qui prennent soin de ces espaces et des centaines de personnes qui les fréquentent est inadmissible. Nous, artistes, associations, collectifs, organisations syndicales, apportons notre plein soutien aux personnes qui font vivre ces lieux, dénonçons la surveillance politique dont nous avons fait l'objet, et soutenons les futures mobilisations et éventuelles démarches judiciaires visant à éclaircir les responsabilités et à mettre un coup d'arrêt à de telles pratiques.
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Avec quasiment 4 emplois sur 10 détruits en 20 ans, l’Office National des Forêts (ONF) est en voie de disparition physique alors que les enjeux écologiques et les attentes sociétales sont de plus en plus forts.
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Dans l’indifférence générale, nous sommes en train d’assister à une remise en cause du fondement même du code forestier et de la notion de service public forestier.
Parce que la forêt publique est un bien commun que nous la devons préserver, je demande que davantage de moyens soient accordés pour restaurer un bon état écologique des forêts françaises.
En partenariat avec : Snupfen - Union Syndicale Solidaires